un plat typique de la Belgique: carbonnades flamandes
01/03/2009 11:27 par Asteria
Recette proposée par Sébastien de Belgique (Kalky75)
Pour 4 personnes:
1kg de viande de carbonnades de boeuf uniquement ( type bourguignon)
1L de bière brune (légèrement sucrée de préférence)
2 gros oignons émincés (500 gr environ)
1 grosse carrote coupée en rondelle
1 boite de champignons coupés ou 150/200 gr de champignons frais coupés
1 tranche ou deux de pain complet de preference, recouverte de moutarde sur les deux faces
1c à soupe de farine
1 brindille de thym
3 feuilles de laurier
2cubes de bouillon de viande
3 clous de girofle
sel et poivre
Préparation
Coupez la viandes en gros dés et saisissez la à la poele pour obtenir une belle coloration brunâtre mais pas trop.
ensuite mettez la viande dans une grande casserole, salez et poivrez
ajoutez les oignons émincés, les rondelles de carottes et les champignons coupés et mélangez le tout
saupoudrez avec la cuillerée de farine et ajoutez le thym, le laurier,les clos de girofles, mélangez a nouveau
Puis aprés quelques minutes versez le litre de bière et ajoutez les cubes de bouillon.
ajoutez les tartines de moutarde qui vont aider la farine à lier la sauce
Laisser mijoter pendant environ deux heures en remuant de temps en temps la préparation
N'oubliez JAMAIS que le secret d'une exellente carbonnade flamande est principalement dans la durée de la cuisson!
PLUS LE PLAT MIJOTE, PLUS IL SERA EXELLENT!
La viande doit se défaire trés facilement.
Servez avec de la purée ou des frites. BON APPETIT!
Sébastien
Et si nous étions tous des anges
Venus d'une planète étrange,
Faite d'amour et d'harmonie.
Et si nous étions tous des anges
Qui auraient voulu que tout change
Un soir de pluie, un soir d'ennui.
Nous serions venus sur la terre
Nous transformant en pauvres erres
Recherchant un sens à la vie,
Fouillant parfois dans les mystères,
Pleurant souvent sur nos misères
Que nous avons pourtant choisies.
Certains se seraient résignés
Oubliant les belles années
Depuis si longtemps enfuies.
D'autres auraient essayé
Sur cette terre de retrouver
Des bribes de leur paradis.
Ceux qui gardent une grande colère
En veulent à la terre entière
De leurs regrets, de leurs soucis.
Et moi qui survole ces guerres,
Ces chagrins, ces joies, ces misères,
Je dois être l'ange ahuri.
Nicole
Quand je vais pas à pas à la recherche de mes pas,
Il n'y a pas un pas qui ressemble à un pas.
Je ne parle pas de pas de tango ou de chachacha,
Non juste des pas que l'on fait ou que l'on ne fait pas.
Il y a des pas que l'on fait pas à pas
d'autres que l'on pourrait qualifier de grands pas,
Des pas en avant, des pas en arrière,
Des pas de cotés et des pas ratés,
Des pas hésitants des pas conquérants,
des pas oubliés et des pas perdus.
Comment ne pas se perdre dans tous ces pas ?
Que dites vous, il faut sauter le pas?
Mais si on le saute que devient le pas?
Parce que le pas sauté est comme le pas nié.
Au fait pas est aussi une négation,
Et n'oubliez pas que le pas est censé nous faire avancer.
Donc avançons à petit pas, pas aprés pas,
Sans oublier le pas le plus important
Qui est le premier pas.
Nicole
Mamizelle! j'ai trouvé la maison bleue..... mais j'ai perdu la colline!
.....On a tous besoin de nos moments de solitude, mais c'est quand on est au milieu des autres que l'on sait, si on a réussi. Dis-toi que chaque personne que tu rencontres reflète une partie de toi, certains appellent cela l'effet miroir. Tout ce que tu détestes chez les uns, tout ce que tu admires chez les autres correspond à des parties de toi que tu refuses de voir. Mais pour pouvoir décrypter tout cela, il faut savoir prendre du recul et ne pas se sentir ni agressé, ni coupable, ni rejeté.
-Je ne comprend pas , Renard.
-Certains comportements vont faire sourire les uns et agacer, les autres voire les mettre en colère. Plus la réaction est vive, plus tu dois te poser la question, mais sur quelle partie sensible de mon âme, sur quelle blessure, sur quel manque a porté ce comportement et au fil du temps, tu apprends à te connaître et à guérir tes blessures. Lorsque c'est de l'admiration que tu as pour quelqu'un alors saches que tu portes la même chose en toi et qu'il suffit pour toi de le developper ou parfois tout simplement de le voir.
Extrait de " la chouette, le sage et le renard ".
Dame blalnche, je crois que j'ai compris, Mélodie a peur de l'amour car j'ai remarqué qu'elle disparaissait à chaque fois que nous étions trop bien ensemble comme si pour elle c'était insupportable, comme si pour elle paniquait devant tant de bonheur. Quand je parle de construire une vraie relation amoureuse,elle fuit encore comme si elle préférait rêver l'amour plutôt que de le vivre.
Alors, j'ai cherché au fond de moi, je me suis souvenu de mes propos, de ma volonté de rester seul pour conserver mon équilibre: il est là l'effet miroir, Renard, moi aussi j'ai peur de l'amour. Mais moi je fonctionne autrement, je ne prend pas la fuite mais je choisis des partenaires impossibles qui par leur comportement ne me font prendre aucun risque parce qu'ils ne s'engagent pas dans la relation, comme le fait Mélodie. Je ne sais pas pourquoi cette peur est tapie au fond de moi. Si je veux êttre honnête avec moi même, je dirai que je meurs d'envie d'aimer et qu'en même temps je suis terrorisé à l'idée de tomber amoureux.
Extrait de " L'histoire de Gordal et Harmonie ".
Quelques extraits de "Gordal et Harmonie"
* Gordal tu commences à te poser les bonnes questions, écoute, tu dois vivre chaque étape intensément et laisser la vie te guider. Un jour tu finiras par être réellement amoureux ………
* Gordal, souviens toi quand tu as appris à jouer du piano, tu en as fait des fausses notes, des erreurs de rythme et de tempo et puis petit à petit tu as joué de petits morceaux pas toujours parfaits mais souvent mélodieux.
Maintenant quand tu joues du Chopin j’en ai les larmes aux yeux. Tes accords sont de plus en plus harmonieux, de plus en plus sensible, de plus en plus sincères parce que tu as oublié la technique et que tu joues avec ton cœur.
Alors pour les sentiments c’est pareil, il existe sur le chemin des personnes avec qui on apprend à vivre et à aimer. On se dit parfois que de temps perdu et pourtant rappelle toi combien de temps il faut faire des gammes pour pouvoir jouer du piano.
Chaque personne que tu rencontres est là pour t’aider à comprendre, t’aider à te situer, t’aider à trouver l’harmonie. Alors respecte les, apprécie les, remercie les, mais ne te laisse pas emporter dans un concerto qui n’est pas le tien.
* Mais comment savoir que l’on joue le bon concerto Dame Blanche ?
* Parce que tu es toi tout simplement et que tu peux jouer ce concerto sans trahir ton âme avec quelqu’un qui fait comme toi. Il peut parfois y avoir quelques fausses notes, rien n’est jamais parfait mais très vite tu peux les rattraper parce que le fond de l’harmonie est là.
Après quelques jours de vacances,
je viens de terminer mon nouveau livre
L'histoire de Gordal et Harmonie
pour vous mettre "l'eau à la bouche"
je vous en livre ci-dessous un petit extrait
(...) Chaque fois que tu vis le présent c’est ton passé que tu construis. Si les hommes prenaient conscience de cela, ils vivraient le présent de façon plus lucide, en se concentrant davantage sur lui. Mais bon je vous vois faire les humains, parfois remuant un passé que de toute façon vous ne pouvez pas changer, sans même vous préoccuper du présent (sur lequel là vous pouvez tout ou du moins beaucoup) qui est finalement le futur passé …..
Et quand on sait que c’est le passé qui conditionne notre futur ! Tu me suis là ? Bon je continue, Le futur vous le rêvez, sans vous préoccuper de savoir si cela sera un présent possible, sans vous rendre compte que le futur se fabrique dans le présent, avant de devenir le passé.
Si vous étiez malins vous ne vous préoccuperiez que du moment qui passe, mais bon, si vous étiez ainsi vous ne seriez pas des hommes. Renard l’a déjà dit autrement, mais bon, on n’y reviendra jamais assez. (...)
Un rayon de soleil frôle mon nez. Je souris, je suis bien, je plane. Je suis dans un rêve et ce rayon de soleil me caresse doucement. Je garde les yeux fermés pour éviter que mon rêve ne s'envole, ne s'évapore. J'ai envie de rester dans cette paix. Je me love avec volupté dans cette bulle de bien être, un peu comme un enfant qui dans le ventre de sa mère se dirait: "et si je ne naissais pas! Si je restais là bien au chaud protégé du monde extérieur! "
Voila c'est décidé, j'ai envie de rêver que je suis un bébé alors je le fais! Et pour faire durer le plaisir je vais trainer un peu avant de faire mon apparition sur terre. De toute façon je ne peux rien faire, je suis plaquée au lit, il m'absorbe. Je suis en train de rêver que je suis dans un lit absorbeur maintenant, un lit qui m'engloutit toute entière. Je sens mes veines qui se glacent et qui sous l'effet du froid se rétrécissent. Mes jambes me démangent mais dans mon rêve je ne sais plus où sont passées mes mains, mais où sont donc mes mains? je ne l'aime plus mon rêve, il ne m'obéit plus, il devient désagréable. J'ai peur qu'il ne se transforme en cauchemar, mon cauchemar, toujours le même. Je suis dans la maison familiale, j'ai trés peur de quelqu'un sans visage qui me frappe, je crie, je rassemble tout mon courage pour me défendre mais quand je veux rendre les coups il n'y a plus personne. Combien de fois j'ai fais ce cauchemar dans mon enfance! combien de fois je le fais encore parfois! Mais non ce coup ci j'ai de la chance, je suis bénie par les dieux des rêves et je repars dans les limbes de ce monde doux, apaisant, cotonneux où je joue au bébé capricieux qui refuse de naitre.
Il faut dire que la maison familiale n'était pas faite pour les bébés. Elle n'était pas faite non plus pour les enfants. Parfois je me demande si elle était faite pour que quelqu'un y vive. C'était une demeure majestueuse du 19ième siècle, une de ces demeures que l'on meuble a grand coup de buffets de style emplis de cristaux, de porcelaine et d'argenterie, de tapis d'orient, de lustres gigantesques, de tableaux sinistres mais de grande valeur familiale, une de ces demeures où l'on s'assied du bout des fesses sur un fauteuil napoléonien, craignant toujours de l'abimer. J'ai passé mon enfance assise sur le bout des fesses, je crois bien que je dormais aussi sur le bout des fesses dans mon lit à baldaquins. J'avais une chambre de princesse, une chambre superbe dans laquelle il était difficile de jouer.
Alors là je profite de mon rêve pour jouer au bébé qui ne quitte pas son cocon douillet, pour m'enfoncer encore et encore de tout mon corps dans ce lit qui devient si souple que je vais bientot toucher le sol.
Une main secoue mon épaule, doucement, gentiment. Je sens la main amicale. Je ferme les yeux trés fort, je lutte pour conserver mon rêve qui s'effiloche mais mon rêve part en fumée, j'essais de récupérer des bribes, je m'y accroche mais la main continue sa pression fermement et j'ouvre les yeux, enfin je crois ouvrir les yeux parce que la main au lieu de me réveiller me fait basculer dans un cauchemar. Ce n'est pas mon cauchemar mais je me demande si ce n'est pas pire. Je me suis transformée en usine pleine de tuyaux; il y en a partout. IL y a plein de gens autour de moi, ils s'agitent, ils caquettent, ils me donnent le tournis. Je vais vomir, oui je vais vomir. Je crie " je vais vomir!" Mais on est dans un cauchemar alors aucun son ne sort de ma gorge. Je vomis partout et les gens s'agitent de plus belle. Je veux arracher les tuyaux. Mes mains ont disparu. Jamais là quand on a besoin d'elles. Je vais me lever mais où sont mes jambes? je vais me réveiller, il faut que je me réveille, que je me lève ou alors que je retrouve mon rêve de bébé qui refuse de venir au monde. Et si je fermais les yeux à nouveau je pourrai attendre un peu que le réveil sonne et me délivre de cette horreur. Il sonne ça y est, il sonne.... "allo" Une des agitées a décroché le téléphone.
_ elle se réveille doucement, elle est sortie d'affaire mais elle ne peut pas vous parler pour le moment, je vous rapelle dés qu'il y a du nouveau.
Mais de qui parle t elle? Moi je ne suis pas réveillée, je suis en plein cauchemar entourée de tuyeaux et de gens fous qui se prennent pour des derviches tourneurs. La main se pose sur mon épaule, c'est celle qui m'a révellée, je la reconnais.
_Votre maman vient de demander de vos nouvelles.
Ma maman! ça y est je suis née, je n'ai plus le choix.
J'ouvre les yeux doucement. Les tuyaux sont toujours là. Ils me relient à des poches de liquides suspendues à une sorte de pied métallique. Je ne peux toujours pas bouger. Les gens sont partis. Il ne reste qu'une femme, la propriétaire de la main je suppose. Je voudrai lui demander ce que je fais ici, mais je ne peux toujours pas parler. Je referme les yeux espérant un miracle, je les ouvre de nouveau: rien n'a changé. Pour une raison que j'ignore je me retrouve dans ce lieui ncongru et je n'ai plus de voix pour demander ce que je fais ici. La dame qui est dans la pièce semble avoir des antennes. Elle s'approche de moi, regarde mon visage et lis dans mon regard interrogateur.
_Ne vous faites pas de soucis, vous avez eu un accident. Vous êtes à l'hôpital. Vous avez eu plusieurs fractures. Le chirurgien ne va pas tarder à passer vous voir, il vous donnera plus de détails.
J'ai eu un accident et j'ai quelques fractures, rien de bien effrayant finalement. Je replonge au plus profond de mon lit et me laisse bercer par mes rêves éveillés.
NDLR : Toute ressemblance avec des personnages réels, virtuels voire normaux serait fortement forte truite. Une tempête dans les neurones est annoncée; contactez les services de votre mairie: des bouteilles de graves et de polytrucs vous seront distribuées.
Note de l'éditeur: le début est à la derniére page.
Un bruit sourd......Boum boum, boum boum, comme une cadence..... Une voix profonde, grave.....En passant par l'aquitaine avec mes sabots.
Un cognement à un arbre, des frémissements de feuilles, une silhouette et revoila le bruit qui nous intrigue tous: ssssssslllllllllhh; il faudrait enquêter car parait-il que l'on peut faire de trés bonnes tisanes avec ce genre de feuilles ou de fruits. C'est une plume au vent qui affirme ça.
le gros balaize, n'écoutant que son bon coeur, avait entre temps nettoyé la fiente laissée par la dame chouette sur l'épaule de la momie duguesclin; ce ne fut pas facile pour lui car maniaque en plus, il avait chapardé un chiffon dans la besace de jeanne, la tricoteuse qui elle se plaignait que sa laine des moutons dondaines filait du mauvais coton. Et puis allez donc nettoyer une armure avec un menhir sur l'épaule......
Une autre soirée paisible s'annonçait, le feu follet crépitait doucement et chacun, chacune s'y installait autour.
Don Quirotait n'avait plus de voix à force de foncer sur les troncs d'arbres en criant " toi tu es un moulin! faut que tu tournes le dos au vent!"
Encore le bruit dans les arbres.... Mais non pas de ssssllllllhhhh cette fois, juste une voix..... une voix de 33 tours rayé, de haute définition en rayures, un chant....
"le ptit barde du samedi soir au pied des tonneeeeelles" Quelques personnes de l'assemblée jetèrent des cris, trés hauts, comme des hauts cris, pour le faire fuir.......
Depuis tout ce temps, vous pensez bien que l'hiver a sévi. Quand la bise fut venue, plus le moindre vermicelle ni de cigalonzecigales à l'horizon.
Notre petite assemblée, courageusement, avait fait front. Jeanne, le bergère, avait tondu ses moutons dondaine et tricoté des toiles de tente pour s'abriter, des chapeaux bigoudens rayés bleu et blanc, elle s'était fait des moufles car tricoter avec des aiguilles de pin, dans ce froid piquant ça donne des gerçures.
La nanesse de dulcinée était tout de même un peu exigeante........... Vu qu'elle écrivait sa biographie, il lui fallait son bain de lait quotidien. Pour se reveiller le matin, il lui fallait qu'une voix lui murmure "trotte, trotte ma jument, vole si tu as des ailes".
Voyez que déjà à l'époque les gens ne choisissaient pas leur apparence.
Le gentil cordonnier qui voulait aller danser n'ayant toujours pas trouvé de cailloux et estimant perdre son temps, n'avait écouté que son bon coeur; il reparti pour Copenhague; il avait l'intention de changer la vie de cette pauvre sirène qui commençait sérieusement à se geler. IL n'avait pas dit ses intentions précises: greffes de pieds, greffes de cothurnes?
Le gros balaize n'avait même pas maigri malgré la disette!
Il avait toujours son menhir sur l'épaule et arpentait vocalisant "pompompompompom", surtout à l'heure du coucher. Sa façon de souhaiter bonne nuit les petits, peut être. Faut dire que dormir avec un menhir sur l'épaule, tout le monde ne peut pas .
Le monsieur avec la cape, lui, ne s'inquiétait de rien pourvu qu'il puisse trouver refuge sous les palétuviers et que son sombrero le suive. Là, je trouve que ce monsieur n'est pas trop correct vu qu'il a mis le sombrero sous la selle du cheval blanc et qu'il a mis un bonnet tricoté bigouden sur sa tête( là, j'enquête sur la tête du monsieur avec la cape ou sur la tête du cheval).
Cette assemblée s'apprêtait à passer une soirée autour d'un feu follet.
Eh oui! leur campement était à proximité d'un ancien cimetière gothvingien.
Quelques bruits, quelques sons, chansons s'en échappaient parfois.
" OOOOOKAAAAAAAY" ou "LES CAGOUILLES SONT DE RETOUR".
Mais voila que.......
Dans l'obscurité naissante...... Une silhouette bizarre... Ce qui semblait être une dame assise en amazone sur un balai rouche, une chouette perchée sur son épaule survole le feu follet et le cercle de l'assemblée( ce doit être pour cette raison que les sénateurs et députés se réunissent en demi rond). Elle avait un bonnet tricoté elle aussi, mais tout en pointe et elle chantait harmonieusement:" Je suis née au chiliiiiiiiiii, mon papa et ma maman aussiiiiiiiii".
Ca ne plut pas à la momie, celle qui avait une armure et son heaume façon rapeur (tricoté main le heaume), Duguesclin pour ne pas le citer.
Il prit sa grosse voix, NON Madame! pas de carné ici! (ndrl: chili con carné).
Allez donc voir du coté de Nogent ou de Mesnil le Pont.
La compagne chouette de cette dame amazone en balai voulu défendre sa covoiturette, se posa sur l'épaule de Duguesclin et y fit une fiente.
Bizarrement juste aprés ce petit incident, un bruit.......un ssssslllllhhhhh.
Une silhouette, encore, dans les arbres....un bruit plus fort,yoooooouuuuhouuuuuuu.
Et plus de silhouette dans les arbres.
Les zaneries de mamizelle.