our indigene
20/07/2009 17:25 par Asteria
Indigène vous le connaissez
Notre beau gascon patriote
En costume et bien cravatté
Sous le drapeau français qui flotte.
Le voici, là, décontractè
L'oeil espiègle et son sourire d'enfant
Semblent dire d'un air amusé
j'ai l'air sérieux mais j'fais semblant!
"Ce que canti per tu"
C'est toute notre amitié
Pour toi lou gascounou
De nos belles fins de soirée.
Le Créateur s’est arrété de travailler le 7è jour, c’est là qu’un groupe de farfeloufoques a pris le relais. Nan nan, ne pensez pas que ce groupe ne soit farfeloufoque que tous les 7 jours, C’est devenu chronique au quotidien. (Consultez vos éditions régionales de votre quotidien habituel) ; ce groupe a un nom : la 7è compagnie. un jour de Juillet 2009, -juste avant le défilé républicain sur les champs élysées,- (Qui restera dans les annales, vu qu’il y avait un bataillon de kiwis indiens, avec des beaux turbans), dans un petit village gaulois, perdu au fin fond de la bretagne, il s’est passé des choses très bizarres. Les autorités locales, édiles, enquêtent toujours. de source bien informée, il s’agirait d’une sorte de récidive de soucoupe volante, Comme on a pu voir dans la soupe aux choux.
Trois humanoïdes ont sévi dans un champ. Selon les moments, ils avaient des saladiers bizarres sur la tête ; on suppose que quand ils n’avaient pas ces saladiers sur la tête, c’est qu’ils s’en servaient pour leur repas. Parfois des postures étonnantes, comme porter la main à l’épaule, ou vers le saladier. Et un rictus à leur mâchoire, un peu comme s’ ils riaient, ou avaient mal au ventre, un air de souffrance extrême.
A mon avis, cette dernière explication est la plus plausible, car ils ont été repérés, accroupis, ou rampant dans les herbes ; les pauvres, ils devaient essayer de se soulager. Certains avaient perdu leur saladier.
Les riverains étaient inquiets. Ils pensaient à une rave party. Mais non…. Bien sûr, tard dans la nuit, il a eu du tintamarre, couvercles de casseroles frappés avec des fourchettes, chant de chouette, pétarade de flacons à bulles, et ronflements bruyants. Les voisins, réalistes, ont relativisé, comprenant qu’il s’agissait d’humanoïdes qui n’avaient pas mangé de soupe aux choux ce jour là.
Mamizelle
Il existe des liens magiques
Qui au fil du temps se nouent
Mystérieux mais non mystiques,
On les sent là, auprés de nous.
Silencieux et sans artifices,
Ils n'apportent que de la joie,
des rires, des chants, des malices
Et ne suivent aucune loi.
Alors à tous les gens que j'aime
Grâce à ce que vous êtes
Ma vie n'est qu'un long poème
De rencontre, de bonheur et de fête.
Entre deux tournées de confiture,
Notre vamp des supermarchés
Part parfois à l'aventure
et sur les tables s'en va danser.
On la croit sage et silencieuse
Quand arrive comme un boulet
Une de ces phrases malicieuses
Drôle et vive à souhait.
Ses deux pieds bien posés sur terre,
Elle ne s'en laisse pas conter
Et elle entoure de mystère
Tout ce que la fait rêver.
Mamizelle! Coucou je suis bien chez Asteria. Je veille sur les flammes du chandelier et m'efforce de porter bonheur à elle et à tous les amis qui passent chez elle. Ne te goinfre pas de galettes, des comme moi il n'y en avait qu'un! Je t'embrasse et je veille sur toi de loin.
Le n'importe bonheur
Mamizelle, Vive le vent c'est bien mais ................... apprends lui autre chose, le temps des cerises ou la danse des canards par exemple, parce que la grisaille et le vent ... IL Y EN A MARRE!
Finalement j'ai trouvé mon nounours calin et en plus il est roucheeeeeeeee!
Définitions issues du Larousse:
Aimer: Eprouver pour quelqu'un une profonde affection, attachement que l'on éprouve pour quelqu'un, tendresse.
Eprouver une inclination trés vive fondée à la fois sur la tendresse et l'attirance physique ( être amoureux).
Avoir un penchant, du goût pour quelque chose.
Se développer, croître particulièrement bien dans tel lieu, tel sol en parlant des plantes ( les betteraves aiment les terres profondes).
S'aimer éprouver une affection ou un amour mutuel.
Si on cherche le sens des mots qui définissent l'amour on trouve, toujours dans le Larousse:
Affection = maladie
Inclination = position oblique, vient du verbe incliner: baisser, courber, dominer, se courber par respect ou par crainte.
Penchant = tendance qui incline à un certain comportement, vers un certain but.
Attachement = lien
Donc on peut en déduire que aimer = maladie, déséquilibre,perte de liberté dans la définition alors que nous recherchons l'amour pour trouver notre équilibre, pour compenser nos manques, en lui demandant d'être la solution à tous nos problèmes.
Lorsque nous arrivons sur terre, nous arrivons avec nos déséquilibres dont nous n'avons pas conscience mais qui sont inscrits dans nos thèmes.
L'autre est là pour nous en faire prendre conscience.
Nous sommes tiraillés entre deux forces opposées, la tête nous poussant à nous différencier et la volonté nous invitant à fusionner.
Lorsqu'il y a en nous un déséquilibre, un vide l'autre va s'y engouffrer. Au début tout va bien mais passés les premiers temps d'illusion on ressent cela comme une agression, on se défend d'où les conflits.
Pour faire une place à quelqu'un dans sa vie il faut avoir quelque chose à offrir, à partager. Une relation se construit sur le partage et non sur une pile d'attentes et de projections.
En attente je ne peux rien donner et ne peut créer de relation, j'agresse l'autre et je me sens agressé par lui.
Si j'existe par moi-même, plein intétieurement d'une riche vie spirituelle, je ne me sens plus menacé d'être envahi par l'autre, je peux donner, offrir quelque chose à autrui, je suis créateur de la relation et je la partage avec l'autre.
La logique nous dit alors de d'abord trouver notre équilibre afin d'avoir en face de nous un partenaire équilibré avec lequel il sera possible de partager.
La symbolique du poisson (ère actuelle) deux courbes qui se tournent le dos mais fortement liées ensemble par un petit trait montre bien cette dualité et opposition qui par le tiret tente de se réunir.
Nous allons vers l'ère du verseau symbolisé par deux vaguelettes qui sans être reliées cheminent librement côte à côte parce qu'elles l'ont choisi.
Ne peut-on pas voir dans cette symbolique une évolution dans la façon d'aimer dont nous sommes les apprentis.
C'est le changement de lune, il parait; je crois que c'est vrai, j'ai beau lui demander si elle pensait encore à moi ......pfffffff silence!
Alors dans notre groupe tout le monde était mal luné et tout le monde se grattait et voulait manger 5 fruits et légumes.
Pour une fois le barde fut débaillonné et détaché et il a motivé la troupe.
Il a prit sa harpe celtique et ...
Quand nous chanterons le temps des chenilles, le gai gros balaize, le ppssshhhhhhllll moqueur, nous serons tous en fèèèèèteuh!
La jeanne aura la foliiiiiiie en tête et le rossignol ( me souviens plus mais ça doit être le rapeur en armure) file une baffe au merle moqueur!
Tout ça pour des cerises!
Je vais attendre la saison des fraises, tiens.
Jeanneton prend sa faucille
Lahirette, lahirette,
Jeanneton prend sa faucille
Pour aller couper des joncs.
En chemin elle rencontre
Quatre jeun's et beaux garçons.
Le premier un peu timide.......
Lui carressa le menton.
Mais les trois autres.........
C'est là que notre Jeanne avec ses moutons dondaines raconte à la veillée autour du feu de camp.
Les trois jeun's et beaux garçons étaient des anglogoths voraces.
Ils étaient bien plus attirés par les moutons dondaine que par Jeanne heureusement.
Les moutons dondaine les avaient rendus fous.
Ils sortaient d'une beuverie cervoise et n'y voyant plus bien clair confondaient les moutons dondaine avec des brebis. Ils avaient faim et voulaient de la panse de brebis farcie.
Pas fous les moutons s'enfuirent à perdre la laine mais n'allèrent pas loin voulant aider leur gentille bergère si besoin était.
Besoin ne fut pas malgré une grande peur.
Ces trois jeun's et beaux garçons (anglogoths je le rappelle) s'étaient emparés de Jeanne la confondant avec une brebis, sait-on? et l'avaient mise sur un bucher pour la faire braiser.Mais! Jeanne ne flambât point! non, non ce n'est pas qu'elle fut protégée par les instances célestes. Juste que souffrant d'arthrose, elle était sous traitement anti-inflammatoire .
Eh béééééééé...........
Les zaneries de Mamizelle.